Sorti le 3 octobre 2017, publié par les éditions Bloomsbury, Harry Potter and the Prisoner of Azkaban (version anglaise donc), troisième tome de la série des Harry Potter, fait déjà l’objet de nombreux commentaires positifs sur la toile. L’auteur du roman J.K. Rowling en tête est très enthousiaste, elle déclare :
« J’adore voir l’interprétation de Jim Kay du monde de Harry Potter, et je me sens honorée et reconnaissante qu’il continue de lui prêter son talent. »
[« I love seeing Jim Kay’s interpretation of Harry Potter’s world, and I feel honored and grateful that he continues to lend his talent to it. »]
Fort des magnifiques illustrations de Jim Kay, artiste reconnu et récompensé, ce livre est superbe ! L’éditeur nous a d’ailleurs présenté sur une petite vidéo ces images qui font rêver, du Magicobus à la prison d’Azkaban, en passant par une vision personnelle de la Carte du Maraudeur, très détaillée :
The wait is over! Jim Kay's #PrisonerofAzkaban is here! Watch the trailer to celebrate: https://t.co/4p0MK75Tj9 #HarryPotterIllustrated pic.twitter.com/1r5MJIZkDd
— Bloomsbury UK (@BloomsburyBooks) October 3, 2017
De son côté, Pottermore nous gâte avec une interview exclusive de l’illustrateur (en anglais), dans laquelle il parle avec enthousiasme de son travail pour ce troisième volume :
Il y présente successivement les détraqueurs, ces créatures « maléfiques », et « éthérées », typiques des contes pour enfants, dont il a plaisir à peindre le mouvement flottant de quelques coups de pinceau. Mais s’ils créent un rythme dans la page, d’après lui, il est difficile de rendre leur visage caché mis à part leur bouche, sorte « trou béant qui aspire les âmes ».
Puis Buck l’hippogriffe, dont il fallu réussir à rendre la taille imposante alors qu’il est couché sur le lit gigantesque de Hagrid à l’aide d’une astuce : percher une petite poule sur l’immense lit pour donner une notion d’échelle.
Enfin, il finit par le professeur Rogue, un personnage qu’il apprécie particulièrement. Pour ce dernier, il a rempli un simple portrait très classique de références : il fait un clin d’oeil à son appartenance au Club de Slugghorn à l’aide d’une limace noire [slug = limace en anglais], il symbolise son rôle d’espion souterrain auprès de Voldemort par une petite taupe piégée dans un pot en verre, et il rappelle l’amour qu’il éprouve pour Lily Potter par un brin de muguet, qui se dit « Lily of the Valley » en anglais.
La sortie en français de Harry Potter et le Prisonnier d’Azkaban illustrée, publié par les éditions Gallimard, est annoncée pour le 12 octobre 2017. Cet ouvrage, que ce soit la version anglaise ou française, comporte 336 pages et mesure 26,7 x 3 x 22,6 cm.
Pour acheter Harry Potter et le Prisonnier d’Azkaban illustré en anglais, au prix de 35,97€, cliquez ici.
Pour le pré-commander en français, rendez-vous ici. Il coûtera 39.90€.
Et pour vous procurer les deux tomes précédents, si vous ne les avez pas encore, cliquez sur les titres :
- Harry Potter and the Philosopher’s Stone (35,99)
- Harry Potter à l’Ecole des Sorciers (39€)
- Harry Potter and the Chamber of Secrets (35,57€)
- Harry Potter et la Chambre des Secrets (39,90€)
Êtes-vous, vous aussi, éblouis par la beauté des illustrations de Jim Kay ?
Achèterez-vous cette nouvelle édition ?