Nouvelles scènes coupées des Reliques de la Mort

Traduction des scènes :

Pétunia : J’ai vécu dans cette maison pendant vingt ans et maintenant on s’attend à ce que je la quitte en une seule nuit.
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Harry : Ils vous tortureront. S’ils pensent que vous savez où je vais, rien ne les arrêtera.
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Pétunia : Tu penses que je ne sais pas ce qu’ils sont capables de faire ? Cette nuit-là à Godric’s Hollow, tu n’as pas seulement perdu une mère, tu sais. J’ai perdu une sœur.
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Vernon : Ce n’est pas seulement un au revoir, n’est-ce pas ? C’est un adieu.
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Dudley : Je ne comprends pas. Il ne vient pas avec nous ?
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Vernon : Qui ?
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Dudley : Harry.
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Vernon : Bien sûr que non.
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Dudley : Pourquoi ?
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Vernon : Pourquoi ? Parce que… parce qu’il ne veut pas, n’est-ce pas ?
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Harry : Non. Je vous ferai perdre du temps.
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Vernon : Allez Dudley, on y va.
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Dudley : Je ne pense pas que tu nous ferais perdre du temps.
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Harry : Merci. À la prochaine; BigD
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Cattermole : B’jour.
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Runcorn : Ron, c’est moi !
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Cattermole : Harry ! Mince, j’avais oublié à quoi tu ressemblais. Où est Hermione ?
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Runcorn : Elle est en salle d’audience, avec Ombrage.
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Arthur Weasley : Je comprends, Wakinda, mais je ne peux pas prendre parti. Bonjour Reg. Ce n’est pas aujourd’hui que Mary doit venir pour être interrogée ? Essaie de garder espoir. Si je peux faire quoi que ce soit pour toi…
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Wakinda : Laisse-moi deviner. Il pleut encore dans le bureau de Yaxley ?
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Arthur Weasley : Dis-lui d’utiliser un parapluie.
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Runcorn : Arthur, vous savez que vous êtes suivi, n’est-ce pas ?
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Arthur Weasley : Est-ce que c’est une menace, Runcorn ?
Runcorn : Non, c’est un fait. Ils vous surveillent.
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Hermione : Où irons-nous ensuite ?
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Harry : Dumbledore avait une théorie, les Horcruxes ne seraient pas au milieu d’objets choisis au hasard. Et qu’ils ne seraient pas cachés au hasard non plus. Nous en connaissons trois pour l’instant. La bague, qui selon Dumbledore appartenait au grand-père de Tom. Le journal, qui de toute évidence appartenait à Tom lui-même. Et enfin il y a ceci, qui encore selon Dumbledore était à la mère de Tom.
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Hermione : Ça me fait un peu peur. Quand je pense que c’est un morceau de…
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Ron : Non. Ne le dis pas. Le nom de Tu-sais-qui est tabou. Ils suivent les gens maintenant.
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Harry : Comment tu sais ça ?
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Ron : J’ai entendu quelqu’un le dire au Ministère.
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Hermione : Du thé ?
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Ron : C’est ça ?
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Harry : Oui. Je sais. Je l’ai senti aussi. Il bouge ou quelque chose comme ça. Comme s’il avait un cœur. Comme s’il était vivant.
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Hermione : Je déteste ça. C’est comme s’il était avec nous ici.
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Harry : C’est pourquoi nous allons le détruire.
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Ron : La clé c’est : plus la mer est calme, mieux c’est. Essaie avec celle-là. Bien. Baisse-toi un peu. Fais pivoter ton poignet.
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Hermione : Tu es vraiment bon. Comme ça ?
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Ron : Non. Baisse-toi. Et lève ton bras…
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Hermione : Deux ricochets. C’est bien non ?
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Ron : Deux.
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Hermione : Et alors ?
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Ron : Tu t’améliores. Pas mal. Trois. Je vais essayer plus bas. Tourne ton poignet. Oui c’est ça.